Un douchebag d'Occupation Double ou l'ex Poire de Geneviève: qui aura son coeur?
De mémoire, c'est la première fois qu'on assiste à Occupation Double à un combat de coq entre un participant et un non-participant. Qui va gagner les yeux de Geneviève? Consultez l'article complet (213 mots)
Devrait-on trouver un nouveau concept de téléréalité?
On commence à avoir presque hâte que se termine Occupation Double 8... Cette saison a été particulièrement pénible, si bien qu'on se demande si le concept ne devrait pas mourir de sa belle mort. Consultez l'article complet (181 mots)
Plusieurs personnes spéculent sur l'identité de l'ex de Genviève d'Occupation Double. Ce dernier, nommé affectueusement "Poire", fera son apparition dimanche prochain. Mais est-ce que vous souhaitez vraiment attendre encore d'ici là? Consultez l'article complet (345 mots)
Scandale, la démocratie est morte ce soir! Vive la démocratie!
La neuvième saison d'Occupation Double termine comme elle a commencé, c'est-à-dire en queue de poisson. Alors qu'on nous affichait à l'écran durant l'émission de se rendre sur odvote.canoe.ca pour voter, la page affichait une erreur. Un drame inqualifiable! Consultez l'article complet (394 mots)
Suite à l'intenable suspense de dimanche, qui partira?
Hier, les filles ont été incapable de trancher quant à savoir qui partira entre Georges-Olivier, Étienne et Dave. Pour cette raison, c'est seulement ce soir que l'on connaîtra l'identité du mal-aimé. Consultez l'article complet (145 mots)
Un commentaire
pagerry | lundi, 28 novembre 2011 at 16 h 56 min
Un sommet de simplisme dégueux et de tricherie répugnante dans l’antichambre d’un tripot devenu une bécosse télévisuelle de Production J. Avec l’insignifiant et très limité Pierre-Yves Lord, foutu du complexe de supériorité, envahi de subjectivité caractérielle, obnubilé d’idées fixes et carburant aux partis-pris, il fallait s’attendre à une fin aussi chaotique que celle que les téléspectateurs ont subie, dimanche soir, le 27 novembre 2011. Une catastrophe et une honte pour TVA qui se trouve au centre d’une ovation de boue. Son show de sexe-réalité, d’exhibitionnisme, de proxénétisme et du libre cours de toutes les expressions de la bassesse, dont les haines, les vengeances et le règlement de comptes qu’ont piloté le king d’écurie Danny et la queen de poulailler Christyna, il fallait s’attendre à une finale comme celle que l’on n’oubliera pas de sitôt. La déchéance rime donc avec l’échéance d’occupation double dont le galérien Lord n’a jamais réussi à tenir le gouvernail, depuis qu’il s’y est hissé. Pierre-Yves Lord a lamentablement réussi à échouer, encore une fois. Au prix que cette aventure foireuse a coûté, c’est à la fois, dramatique, pathétique et révoltant. D’autant plus que Lord, pris de panique, a bafoué l’honnêteté, l’intégrité et la respectabilité des aveux de Nancy, sachant que sa déclaration mettait fin à un tripot, son tripotage du vote des exclus, au statut plus que particulier de repris de justice. Au paroxysme pluriel du malaise le plus singulier qui soit, Monsieur Cholette a quitté la tribune. Pour TVA, ce temps d’antenne doit être consacré, d’ores et déjà, à toutes les formes de l’amour qui distingue l’homme et la femme de la bête de traque et non à l’exhibitionnisme du sexe mécanique dont le mâle «pas de classe» Dany et la femelle «pas de classe» Christyna, les épaves dominantes du show de pitres, se sont pourléchés et délectés.
Un sommet de simplisme dégueux et de tricherie répugnante dans l’antichambre d’un tripot devenu une bécosse télévisuelle de Production J. Avec l’insignifiant et très limité Pierre-Yves Lord, foutu du complexe de supériorité, envahi de subjectivité caractérielle, obnubilé d’idées fixes et carburant aux partis-pris, il fallait s’attendre à une fin aussi chaotique que celle que les téléspectateurs ont subie, dimanche soir, le 27 novembre 2011. Une catastrophe et une honte pour TVA qui se trouve au centre d’une ovation de boue. Son show de sexe-réalité, d’exhibitionnisme, de proxénétisme et du libre cours de toutes les expressions de la bassesse, dont les haines, les vengeances et le règlement de comptes qu’ont piloté le king d’écurie Danny et la queen de poulailler Christyna, il fallait s’attendre à une finale comme celle que l’on n’oubliera pas de sitôt. La déchéance rime donc avec l’échéance d’occupation double dont le galérien Lord n’a jamais réussi à tenir le gouvernail, depuis qu’il s’y est hissé. Pierre-Yves Lord a lamentablement réussi à échouer, encore une fois. Au prix que cette aventure foireuse a coûté, c’est à la fois, dramatique, pathétique et révoltant. D’autant plus que Lord, pris de panique, a bafoué l’honnêteté, l’intégrité et la respectabilité des aveux de Nancy, sachant que sa déclaration mettait fin à un tripot, son tripotage du vote des exclus, au statut plus que particulier de repris de justice. Au paroxysme pluriel du malaise le plus singulier qui soit, Monsieur Cholette a quitté la tribune. Pour TVA, ce temps d’antenne doit être consacré, d’ores et déjà, à toutes les formes de l’amour qui distingue l’homme et la femme de la bête de traque et non à l’exhibitionnisme du sexe mécanique dont le mâle «pas de classe» Dany et la femelle «pas de classe» Christyna, les épaves dominantes du show de pitres, se sont pourléchés et délectés.